Chill, danse et expo ce dimanche 24 juillet. Si vous passez aux îlots électroniques, n’oubliez pas de passer voir Josselin Berthoud qui présente sa première exposition “MASQUÉ“ qui est à deux pas du jardin des Prébendes, au 54 rue Sébastopol de 14h à 20h.

Qui es-tu Josselin ?

Je m’appelle Josselin Berthoud, j’viens d’avoir 20 ans. J’suis étudiant en bts design graphique à Blois, mais je viens d’une ville à côté de Tours, Langeais.

© François CHRISTOPHE : Studio PRiZM
©François Christophe – Studio PRiZM

Quel élément déclencheur t’a poussé à t’orienter vers le graphisme ?

Depuis tout petit j’ai toujours aimé les choses en rapport avec la création comme le dessin, le bricolage, imaginer des objets ‘chelous’ pour faire le con avec. Mais en grandissant, même si j’étais encore fort pour faire le con, le collège m’a mi un froid, j’étais pas motivé à faire un bac général mais le dessin m’a motivé a continuer les études. C’est ce qui m’a orienté pour faire un bac pro signalétique ce qui m’a pas mal plus mais qui m’a encouragé à prendre plus une voie de création comme le graphisme. Donc voilà j’ai toujours aimé dessiner, manipuler, pour le délire au début.

Comment as-tu commencé cette série “MASQUÉ“ ?

La série « MASQUÉ » a commencé un jour ou j’faisais la merguez chez moi, surement à perdre mon temps sur Facebook et donc j’me suis mis a faire un Calavera. Une fois fini je me suis dis que c’était un bon délire de ne pas délimiter le visage et juste laisser des traits blancs sur fond noir pour avoir un coté impactant tout en restant simple. Donc ensuite j’ai fais le masque bushi, africain… Mais j’ai poussé la série en dehors des civilisations pour intégrer des masques de films par exemple.

La série « MASQUÉ » a commencé un jour ou j’faisais la merguez chez moi

Quelles sont tes influences et tes sources d’inspiration ?

J’aime beaucoup le constructivisme et le cubisme, même si dans cette série on ne le ressent pas. J’aime les choses simple. Comme le travail de Daniel Buren avec ces bandes noir et blanche ou comme les bandes d’un rideau de fer. Pleins de choses nous influencent dans le travail et je pense que pour cette série la tram et l’impact m’ont influencé.

Envisages-tu une suite ou un tout nouveau projet ?

Je pense faire une suite pourquoi pas mais dans un autre registre, pourquoi pas faire des portraits. Sinon j’ai d’autre projet en construction comme une association qu’on vient de créer avec des potes, elle s’appelle Net House et elle consiste à faire des rassemblements culturels autour du son et de du graphisme. D’ailleurs le 24, Nemoi House et Superchunk qui mixeront pour vous faire passer un bons moment dans l’expo. Mais après personnellement à coté des cours j’aimerai imprimer des t-shirt avec mes visuels pour faire partager une autre façon mon travail.

C’est quoi pour toi les îlots électroniques ?

Ce sont des très bons moments passés avec ses amis, sur de la bonne musique. C’est la décompression.

Le mot de fin ?

Biggy Burger, j’aime trop cette sauce, c’est la vie.

Biggy Burger, j’aime trop cette sauce, c’est la vie.

 

Dimanche 24 juillet de 14h à 20h
54 rue Sébastopol (à côté du jardin des Prébendes)
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